Message d’élèves du secondaire

Non à la drogue en milieu scolaire 

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Koné Djahi Teddy Carmel

Élève en 3e2

Actuellement divers fléaux minent notre société actuelle. Au nombre desquels figure   la consommation de la drogue qui, au regard des faits, est en plein essor. Dans l’optique de freiner son avancée, nous sommes sensibilisés à chaque fois sur les dangers liés à la consommation des stupéfiants par le truchement de clubs et même de conférences organisées en partenariat avec la Jeunesse Estudiantine Catholique (JEC). Au cours de l’une d’elles, le conférencier a éclairé nos lanternes en ces termes : « La consommation de la drogue par les élèves est un véritable problème pour leur évolution et leur épanouissement car la drogue est une substance très dangereuse pour le fonctionnement de l’organisme ».  Dès lors, il n’en demeure pas moins que ce phénomène ait des conséquences dont l’absentéisme scolaire, la baisse du rendement scolaire, l’apparition de maladies physiques ainsi que de troubles mentaux et psychiques (perte de mémoire, folie, cancers, addiction, dépendance à la substance …). Aussi le parcours scolaire est très impacté  à cause de crises de violence crées par les élèves consommant la drogue. Il est fréquent de voir des jeunes élèves qui s’adonnent à des scènes de violence après avoir consommé du « Kadhafi » (drogue obtenue à base d’un mélange comprimés contenant du Tramadol + alcool).  

Partant du fait basé sur les méfaits de la progression de la consommation de la drogue sur les apprenants, il convient à nous, élèves que nous sommes d’adopter des attitudes responsables gages de réussite. Aussi, il convient à l’Etat et à toutes les entités du système éducatif de prendre des mesures idoines visant à éradiquer une telle gangrène. Quant à nous à Champagnat, nous disons tous, NON A LA DROGUE !

Les fondements de la réussite 

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Séguénon C. Milan Méira

Élève en 4e2

Je me nomme Séguénon Chonmontié Milan Méira, élève en classe de 4e2 au collège Prive Saint Marcellin Champagnat de Bouake. D’abord, la réussite repose sur de bons fonctionnements c’est-à-dire un milieu d’étude approprié et une bonne éducation venant des parents. 

En effet, le milieu familial pose les bases d’une bonne éducation, 

facteur de réussite. Aussi, l’école Champagnat que je fréquente offre un cadre de vie agréable, des enseignants qualifiés, un personnel administratif à l’écoute des élèves et la rigueur. Fort est donc de constater que les enseignant mettent en place diverses approches pour faciliter notre apprentissage. Je peux citer entre autre des exercices de mise à niveau, des séances de remédiation ou de renforcement. Tous ces éléments réunis nous mettent dans de bonnes conditions pour réussir ce que nous entreprenons. Je dirai enfin qu’un bon cadre de vie familiale et un enseignement convenable contribuent inévitablement à une réussite scolaire et  sociale de chaque élève. 

MON PARCOURS A CHAMPAGNAT

TRAORE K. NANCY MYRIAM 3e1

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Élève en 3ème 1

Je suis Traoré Khadija Nancy Myriam, élève en classe de 3e au collège privée Saint Marcellin Champagnat de Bouake. 

De l’an 2010-2024 ce fut un grand plaisir pour moi d’être une apprenante de cette école. Dès mes premiers instants, je fus captivée par la beauté de cette école et par la qualité de l’enseignement offert. Cet enseignement allie à des valeurs sociales et religieuses et j’apprécie énormément cela ainsi que l’attitude des enseignants et surtout la fraternité qui y règne. 

Mon parcours du préscolaire était rempli de joie, les maitresses étaient très joviales et attentionnées. De l’année académique 2013 à 2019,  ce fut mon parcours du primaire. J’ai vraiment aimé ses années de joie avec les maitres et maitresses, le sous-directeur était Monsieur Oba Séraphin.  Dès que je fus admise au CEPE, mon vœu le plus ardent était d’être orientée au collège du centre scolaire. Dieu a exaucé cette prière et dès la rentrée scolaire, je fis mes premiers pas au collège. Aujourd’hui en 3e, je ne peux que remercier mes différents encadreurs.  Mon parcours du collège a été merveilleux et toutes ces années me marqueront à jamais, en union avec mes camarades de classe, nous étions disciplines et concentre sur le BEPC. 

Je remercie du fond du cœur le personnel enseignant et non-enseignant pour tout ce qu’ils ont fait pour les autres élèves et moi.

Les violences basées sur le genre 

FOFANA KILAIFA CHOUCHRYA ASMA

Élève en 6eme3

Parler des violences basées sur le genre, abrégé VBG revient à mettre en exergue tout acte de violence orchestré, de façon générale, contre des personnes vulnérables comme les enfants, les filles et les femmes… La question de violence sur le genre est d’actualité en ce sens qu’elle prend de plus en plus de l’ampleur au sein de notre société. Ce phénomène existe dans le milieu urbain comme rural. 

Tout acte de violence infligé à une personne en raison de son genre peut être considéré comme VBG. Il en existe par conséquent plusieurs : le viol, les agressions sexuelles, les agressions physiques et morales, la maltraitance psychologique ou/et émotionnelles. 

En outre toute personne victime des VBG pourrait être affectée psychologiquement et même physiquement entrainant sa désocialisation, la haine, le manque de confiance en soi. Pour enrayer un tel fléau, il faudrait tous cultiver la liberté d’expression, la liberté de choix, respecter les règles de vie en société. La solution pour prévenir et enrayer de telles pratiques et la sensibilisation et l’écoute.  Lors des séances de EDHC et même de religion, nous sommes amenés à faire preuve de calme, de tolérance te surtout d’amour. Pour que ce fléau soit enrayé dans les années avenir, il convient de sensibiliser les générations avenir sur ces méfaits comme le disent si bien nos éducateurs.